Scintillante de pierres précieuses, « Lady 1966 » a été imaginée comme un délicat poème horloger. Versée dans les tonalités intenses bronze et cognac, délicate par sa taille et la finesse de ses traits, elle exprime une élégance discrète rythmée par son mouvement mécanique à remontage automatique signé de la Maison.  

La lunette est illuminée de 80 diamants s’enchaînant jusqu’à l’extrémité de chaque corne. Cet éclatant serti vient ainsi marquer de lumière la forme classique et parfaitement proportionnée du boîtier façonné dans l’or rose. 

Le cadran est guilloché et présente un visage moiré, de couleur bronze. Il brille de douze fuseaux s’élançant depuis le centre à l’instar d’une corolle qui rayonne vers l’extérieur. Chacun est composé d’une succession de fines arabesques, comme autant de pétales aux reflets chatoyants. Deux élégantes aiguilles feuilles rehaussent le cadran tandis que les heures sont soulignées par des index sertis de diamants, à l’exception des chiffres 6 et 12 marqués par des chiffres romains délicatement polis. 

A cette grâce répond un cœur horloger mécanique aux dimensions adaptées à la finesse du boîtier. La Girard-Perregaux 1966 Lady est en effet équipée d’un mouvement mécanique à remontage automatique GP03200 développé, produit et assemblé intégralement dans les Ateliers de la Manufacture. Décoré de façon traditionnelle, il offre les fonctions heures et minutes et dispose d’une réserve de marche de 42 heures.

Pour parfaire sa tenue, « Lady 1966 » est habillée d’un bracelet en alligator glacé de couleur chocolat avec une boucle à ardillon en or rose.