Girard-Perregaux Cat’s Eye Haute Joaillerie

Communiqué de presse

Girard-Perregaux Cat’s Eye Haute Joaillerie

Le diamant en majesté. C’est ainsi que Girard-Perregaux a voulu cette pièce exceptionnelle, variation contemporaine d’un rêve infiniment glamour. Bien sûr il en émane une énergie créatrice, une architecture presque lyrique de diamants baguette et taille brillant, parachevée par un mouvement Maison à remontage automatique. Pour Girard-Perregaux, on le sait, l’esthétique est loin d’être la seule valeur de la féminité.

Mais il faut imaginer ce bijou horloger porté, vivant, vibrant. Son aura souveraine s’étend à celle qui en fait l’expérience à son poignet, dans une communion de beauté et d’éclat décuplé.

Retour vers le futur

Les racines les plus anciennes de la Maison remontent à Jean-François Bautte, horloger et orfèvre genevois dont Girard-Perregaux acquiert la succession en 1906. L’originalité des créations de Bautte est telle que son atelier devient le lieu de passage obligé des visiteurs de marque, Balzac, Dumas ou encore la future reine Victoria.

Eblouir, oui. Mais avec les arguments de son temps. Concevoir une pièce charismatique comme une empreinte de l’époque fervente et contrastée qui est la nôtre, tel est l’enjeu actuel. Aux motifs figuratifs Girard-Perregaux préfère l’ultra graphisme d’une construction géométrique qui puise une partie de sa grammaire dans le style Art déco. Les angles droits, les arêtes nettes des diamants baguette s’attendrissent face à l’ovale emblématique du modèle Cat’s Eye. L’exercice de style est tendu. L’exécution parfaitement maîtrisée, dans les règles de l’art et selon les convictions d’aujourd’hui.
 

Panorama de diamants

Rares sont les montres entièrement serties, de la boîte au cadran, jusqu’au bracelet et à la boucle déployante. Mais les gemmes à foison ne constituent pas à elles seules l’habit de scène qui captive le public. Pour que la magie opère, il faut savoir jouer du relief et des qualités intrinsèques du diamant. 631 diamants de plus de 190 dimensions différentes sont réunis sur cette pièce unique qui totalise 28,30 carats. Les diamants baguette gravitent sur l’orbite elliptique de la boîte, sur le bord externe du cadran, et composent les écailles du bracelet souple et délié. Un pavage de diamants sertis neige occupe le centre du cadran. La lumière rebondit au gré des multiples facettes de leur taille brillant tandis que la taille baguette révèle elle la transparence de la gemme formée dans le manteau terrestre. Girard-Perregaux utilise des pierres de la plus haute qualité qui, comme l’or utilisé sur cette montre, répondent aux critères éthiques, sociaux et environnementaux du Responsible Jewelry Council (RJC).
 


150 heures de travail ont été nécessaires pour le seul sertissage de cette création. Mais cette pièce féérique est également animée par un mouvement mécanique à remontage automatique conçu, développé et réalisé par la Manufacture Girard-Perregaux dans la pure tradition horlogère suisse. Le fond ouvert permet d’admirer le Calibre GP03300-0140 qui ajoute à la puissance de cette pièce unique à tous égards.